Nouvelle érotique : jeux de frustrationAttention cette histo..

Nouvelle érotique : jeux de frustration

Attention cette histoire risque de vous frustrer terriblement…

Elle commence lors de ma première année en école privée de com à Paris, en 2017. Je deviens alors amie avec une fille et un garçon de la classe (hetero MAIS en couple), nous allons les appeler Marie et Thomas. À l’époque je suis en couple moi aussi, à distance et pas du tout épanouie sexuellement. Je découvre la vie parisienne, j’aime sortir, boire et par dessus tout j’aime plaire.

Avec Marie et Thomas, on commence à sortir pas mal, Marie et moi avons notre premier appartement, on découvre l’indépendance et la joie de pouvoir organiser des soirées dans nos appartements respectifs. Un soir, on sort chez Marie, et Thomas vient avec un ami à lui. Marie est célibataire et aime clairement s’amuser, elle flash immédiatement sur cet ami, ce qui ne laisse aucun doute sur l’issue de cette soirée pour ces deux-là…

L’ambiance est bonne, et Marie lance un jeu d’alcool. Thomas ne fait que me regarder et me viser lorsqu’il s’agit de poser des questions ou des gages. Premier gage : je dois le masser pendant 20 secondes. Deuxième gage : mimer une fellation sur une bouteille de bière. Troisième gage : lui rouler une pelle. A l’instant où nos bouches et nos langues se sont rencontrées, j’ai eu la confirmation que j’avais terriblement envie de lui. Et en même temps dans ma tête je savais que c’était mal car j’étais en couple. Ce fut le début d’une nuit de lutte entre mon désir et ma culpabilité.

Vient un moment de la soirée où je suis clairement assise sur Thomas, à califourchon, mon corps ondule sur lui. Je peux sentir son érection, il est dur comme la pierre, ce qui mouille davantage ma culotte. On s’embrasse langoureusement, ses mains se baladent le long de mon corps, s’attardant sur ma poitrine et sur mes fesses qu’il agrippe fermement.

D’un coup la culpabilité me frappe et je décide d’arrêter et de partir. Je ramasse mes affaires et commence à dire au revoir. Il propose de me raccompagner jusqu’à chez moi, ce que j’accepte car c’est la nuit et Paris n’est pas une ville très sûre. Nous marchons jusqu’à chez moi car ce n’est pas si loin.

Arrivé chez moi, la tension monte à nouveau au moment de se dire au revoir, il me dit qu’il meurt d’envie de moi, je lui avoue que moi aussi. Il me plaque contre la porte et m’embrasse avec fougue, mon corps tout entier me hurle de le laisser me baiser, tandis que ma tête et ma raison m’indiquent de ne pas aller plus loin. Alors je lui dit de monter avec moi mais qu’on ne fera rien. Bien que le mal soit fait, je me dis que je peux encore éviter le pire.

Nous montons les 6 étages, et nous nous mettons au lit après avoir discuté un petit peu et après avoir enlevé nos vêtements. Je suis en petit pyjama et lui en boxer, une fois sous la couette on s’embrasse à nouveau, nos corps maintenant légèrement dénudés se touchent au plus près… Nos peaux entre en contact et ça devient un supplice, mais ce n’est rien comparé à ce qui nous attend.

Alors qu’il est allongé je commence à monter sur lui, je suis assise sur son sexe en érection et je commence à pratiquer du « humping », je frotte ma vulve contre son penis, je suis trempée et excitée comme jamais. Il faut dire que j’adore les jeux de frustration… Je continue et il me dit « j’ai tellement envie d’être en toi ». Mais je lui dit que ce n’est pas possible, que je ne me pardonnerais jamais si nous faisons ça.

Il me dit qu’il doit se faire jouir car il ne pourra jamais dormir comme ça, sentiment que je comprends et que je partage. Je lui propose alors qu’on se fasse jouir autrement mais ensemble. Je sors mon sextoy, et je commence à me toucher avec, il me le prend des mains pour l’insérer en moi. Nous sommes donc allongés sur le dos, de sa main gauche il me pénètre avec mon jouet pendant que de sa main droite il se branle. De mon côté je me touche le clito, et nous commençons rapidement à gémir de plaisir, très fort. J’entends le bruit que crée ses vas et viens, et alors qu’il me dit qu’il va jouir, nous jouissons quasiment en simultané.

Depuis ce jour, plusieurs fois nous avons failli nous revoir, célibataires, mais ça ne s’est pas fait. Nous nous sommes plusieurs fois chauffés sur snapchat, on a échangé des nudes et il m’a même avoué que j’étais encore à ce jour son plus gros fantasme et qu’il rêvait de me baiser et d’entendre le bruit de mes fesses claquer contre lui alors qu’il me prendrait en levrette…