Nouvelle érotique - L’inconnu de la banque (celui pour leque..

Nouvelle érotique - L’inconnu de la banque (celui pour lequel vous avez voté en majorité)

C’est l’été, il fait chaud, je porte un joli ensemble jupe/crop top rose clair vichy, et je dois me rendre à la banque, à Nancy.

Au moment de rentrer dans la banque je vois ressortir un homme, et je ne peux m’empêcher de remarquer qu’il est très séduisant. Je me dis que c’est ce genre d’homme qu’on croise et qu’on ne revoit plus jamais. Que ne fut pas ma surprise quand en sortant de la banque quelques minutes après, je le vois devant et par chance il m’aborde.

Il me baratine en me disant qu’il m’a attendu car il a trouvé mon profil intéressant, il est soit disant de passage à Nancy pour tourner un film. Il prend mon numéro pour que nous puissions échanger par sms et se revoir plus tard.

Il n’a pas fallu longtemps pour que les textos deviennent des sextos. L’été ma libido est toujours décuplée, il me donnait déjà tellement chaud, j’en étais toute excitée.

Le soir même il me proposa de le retrouver dans sa voiture sur un parking extérieur proche de chez moi, qui n’est pas trop fréquenté. J’habitais alors chez mes parents, j’avais 19 ans, j’ai prétexté sortir voir une copine et je l’ai rejoint dans sa voiture.

C’était comme dans un film, nous n’avons pas échangé un seul mot, nous savions pourquoi nous étions là. J’étais venue sans culotte. Nous nous sommes installés à l’arrière de la voiture, me voilà assise sur lui ses mains agrippant tantôt mes fesses sous ma jupe, tantôt mes seins, ce qui faisait remontait mon crop top. Nos bouches échangeaient des baisers langoureux. Il avait une barbe, je prenais sa bouche entre mon pouce et le reste de ma main, pour l’embrasser et lui mordiller les lèvres. J’avais une folle envie qu’il me pénètre, et je sais qu’il avait compris ce que je voulais : que ce soit bestial.

Je me mis alors à le sucer, d’abord lentement pour ne pas lui faire mal, puis il m’indiqua qu’étant circoncis sa sensibilité était réduite donc je pouvais y aller. Me voilà alors à le sucer plus fort, plus vite, et à cracher sur sa queue. Je la branlais en même temps que je l’insérais dans ma bouche, j’aspirais légèrement son gland. Je voulais le rendre fou mais pas trop longtemps.

Et vint alors ce que j’attendais le plus : il me pénétra alors que j’étais assise sur lui mais de dos, je m’agrippais aux têtes des sièges avant, mi-assise mi-debout, les genoux légèrement pliés, tandis que ses grandes mains attrapaient mes hanches et qu’il me donnait des coups de rein. Le son de mes fesses qui claquaient contre lui était tellement excitant, je gémissais de plaisir, c’était un délice.

Il m’allongea en suite sur la banquette, attrapa mes jambes pour venir les poser sur ses épaules et il inséra sa queue en moi. Il me baisa ainsi en missionnaire, en tenant mes jambes qui tremblaient de plaisir. Ma tête tapait contre la portière mais je m’en fichais, j’aimais ce qui était en train de se passer.

A ce moment là des passants ont tapé au carreau et ont rigolé en lâchant « des gens sont en train de faire des bébés », nous avons beaucoup ri et avons décidé de finir notre affaire rapidement afin de ne pas se faire prendre plus que ça. Je ne saurais dire comment ça s’est fini, je ne me souviens que de ses mains qui m’attrapaient et de ses coups de reins en moi…